Qu'est-ce qu'une Psychothérapie?
Une psychothérapie est un ensemble de techniques et de processus susceptibles de traiter sur un plan psychologiques une personne souffrant d'un trouble mental, de perturbations comportementales et de tout autre problème générant une souffrance ou une détresse psychologique.
Les psychothérapies sont issues de l'hypnose et de la psychanalyse au 19è siècle
Quelles sont les différentes techniques de psychothérapie?
Combien de temps dure une psychothérapie?
Le patient peut donc convenir avec le thérapeute de la durée et du rythme des séances, selon ses besoins et ses moyens. Toutefois, s'il est possible de consulter un professionnel de façon ponctuelle, une véritable thérapie nécessite en général au moins plusieurs mois et peut parfois se prolonger sur plusieurs années. Tout dépend des objectifs que l’on veut atteindre et de la gravité des troubles. Il faut aussi prendre en compte le fait que le temps nécessaire pour se sentir à l’aise et pour opérer des changements est très variable selon les personnes.
Une psychothérapie peut-elle être remboursée par la sécurité sociale?
Combien de séance faut-il prévoir par mois?
C'est aux Etats Unis, dans les années d'après guerre, que cette thérapie est née. Elle est le fruit d'un travail de recherche mené par l'école de Palo Alto.
Elle se différencie d'une psychanalyse ou d'une psychothérapie "traditionnelle" dans la mesure où, comme l'évoque son nom, sa durée est limitée dans le temps.
La thérapie brève appartient au domaine de la psychothérapie cognitivo-comportementale (appelée "TCC") - Le dossier INSERM dont vous trouverez en pièce jointe un extrait, témoigne de l'efficacité de ces techniques.
Elle traite, sur une durée réduite, un certain nombre de troubles ; c'est une bonne réponse pour les personnes qui n'ont pas le temps de suivre un programme astreignant et dont les troubles qu'ils rencontrent ne nécessitent pas forcément une thérapie de longue haleine.
Quelles sont les principales techniques de thérapies brèves?
Parmi les techniques de thérapies brèves qui ont fait leur preuve on trouvera notamment:
Les thérapies brèves sont-elles aussi efficaces que les thérapies plus longues?
Une étude officielle INSERM démontre à l'évidence la très grande efficacité des thérapies brèves. Cette étude est disponible sur notre site et démontre l'efficacité et l'effiscience des thérapies brèves par rapport aux thérapies analytiques notamment.
Les changements sont tout à fait stables et durables; ils peuvent en outre générer d'autres évolutions comportementales qui ne faisaient pas partie de la demande initiale. Il s'agira là d'un avantage collatéral très fréquent et qui s'explique aisément.
Au bout de combien de temps peut-on voir une évolution avec les thérapies brèves?
Les thérapies brèves présentent l'énorme avantage de réduire considérablement la durée d'une prise en charge.
Les premières évolutions apparaissent fréquemment dès les premières séances, pour ne pas dire, parfois, lors de la première séance.
Que soigne-t-on avec les thérapies brèves?
Exemples: sentiment de culpabilité, attentes parentales aliénantes, crainte d'échouer etc...
Exemples: peur de la foule, peur des avions, peur de vieillir, peur des microbes, peur des espaces
confinés, peur des ascenseurs, peur de rougir etc...
Exemples de compulsions: les vérifications, les rituels de lavage, les rituels de comptage etc...
Exemples d'obsessions: la peur de la contamination, les pensées agressives, les peurs de la
maladie, le besoin de symétrie et d'exactitude, les représentations sexuelles etc...
Exemples: problèmes relationnels, prise de parole en public, difficultés lors d'entretiens, peur de
prendre des responsabilités, difficultés pour rencontrer un conjoint etc...
Exemples: éjaculation précoce, manque de désir, trouble de l'orgasme, frigidité générale ou
occasionnelle, impuissance et troubles de l'érection etc...
Peut-on traiter des cas lourds par le biais des thérapies brèves?
Les thérapies brèves peuvent tout à fait convenir pour traiter des cas lourds.
Il n'en demeure pas moins, que dans certains cas, il est nécessaire d'envisager une thérapie en partenariat avec un psychiatre.
La durée demeure sous le contrôle du patient. Vous pouvez arrêter à tout moment; en général, l'arrêt s'effectue dès lors que vous considérez ressentir un mieux-être de façon stable.
Ce constat s'effectue généralement à travers une simple, mais importante, discussion avec le thérapeute.
Vous avez tout le loisir, si vous en éprouvez le besoin de
reprendre rendez-vous après avoir arrêté durant une longue
période.
Au cabinet ALLIANCE, nous avons tendance à privilégier un arrêt naturel et progressif; on peut par exemple passer de 2 séances par mois à 1 séance par mois, puis 1 séance tous les 3 mois enfin 1 séance ponctuellement lorsqu'il y a nécessité.
Il est aussi essentiel de
savoir mettre un terme à une psychothérapie!
La psychothérapie intervient:
La sphère
professionnelle n'est pas touchée sauf lorsqu'elle est impliquée dans la sphère privée et personnelle. Quoi qu'il en soit, et sauf si le thérapeute est également coach
professionnel, les processus purement professionnels ne sont absolument pas traités.
La psychothérapie est davantage axée sur la sphère personnelle et située dans le passé et le présent,
Le life coaching est davantage axé sur la sphère privée et située dans le présent et le futur.
Ces deux approches sont très complémentaires,
L'approche et la dynamique sera différente; l'une plutôt tournée vers le passé et centrée sur le "pourquoi, l'autre plutôt vers le futur et centrée sur le "comment faire", mais les deux s'intéressant à l'essentiel: le présent.
Le professionnel, s'il est notamment formé aux thérapies brèves, aura la possibilité de décider dans quelle optique se situer dans l'intérêt de son patient/coaché.
Il lui faudra certainement, comme c'est le cas fréquemment, passer d'une méthode à l'autre, de la psychothérapie au life-coaching en fonction de la situation, des attentes et des besoins du patient/coaché.
Qui doit déterminer s'il est préférable d'utiliser la psychothérapie ou le life-coaching?
C'est lors du premier entretien entre le professionnel et la personne en demande que l'orientation entre psychothérapie et life-coaching va se définir, tout au moins dans un premier temps puisque le besoin peut aussi évoluer.
Il va sans dire que l'option psychiatrique peut également être envisagée, auquel cas, le demandeur sera orienté en complémentarité vers un psychiatre compétent.
Thérapeute/coach et le patient/coaché.
Cette phase est essentielle et nécessite une bonne évaluation.